Faut-il ouvrir le capital de nos sociétés d’avocats aux financiers ?

La question a été débattue lors du colloque organisé par l’ACE – Avocats, Ensemble et l’ACE – Jeunes Avocats, auquel Franck HENAINE, pour Noval Avocats, a eu le plaisir de participer aux côtés de Mylène Bernardon et Aurélia Goulut.

Derrière les enjeux financiers, c’est bien la gouvernance et le contrôle effectif des structures qui concentrent l’attention :

👉 Comment accueillir des investisseurs sans perdre la main sur les décisions stratégiques ?
👉 Comment concilier ouverture du capital, indépendance et éthique professionnelle ?

La réglementation en vigueur et les travaux antérieurs du CNB Conseil national des barreaux – les avocats ont été présentés et commentés par Tommaso Cigaina et Philippe Touzet.

Dans le secteur de la santé, qui a fait l’objet d’une table ronde dédiée avec les docteurs Bernard Huynh et Daniel Attias, ces interrogations prennent une résonance particulière : là où les logiques économiques croisent les impératifs déontologiques, le maintien d’un contrôle effectif par les associés professionnels exerçants demeure une condition essentielle.

Les retours d’expérience ont été particulièrement enrichissants.

Le débat n’aurait pas eu la même intensité sans les modérateurs Laura Mancini, Audrey Chemouli et Barthélemy Lemiale, ni sans la conclusion éclairante de Nathalie ATTIAS.

Le sujet reste ouvert… et soulève encore de nombreuses questions :

💭 Quelle utilité d’ouvrir le capital à des partenaires financiers ?
💭 Notre secteur constitue-t-il une véritable cible pour eux ?
💭 Quels garde-fous mettre en place pour préserver nos équilibres ?

Le débat est lancé… et la suite s’annonce passionnante. ⚖️